Curriculum Vitae

Didier Morandi est né à Lyon le 25 novembre 1950.

Après des études secondaires à Lyon (Lycée du Parc, Cours Maisonneuve et Cours Pascal), il a obtenu un Bac C en 1970, puis s’est engagé dans l’armée de Terre (Transmissions) de 1971 à 1976. Après l’armée, il est devenu commercial en radiotéléphones chez Motorola et a décidé de suivre en même temps les cours du soir du CNAM, à l’issue desquels il a obtenu un diplôme en économie et gestion financière des entreprises, Lors de ces cours, il a découvert l’informatique puis est entré en 1981 chez Dassault Aviation à Saint-Cloud comme programmeur de gestion sur ordinateurs Digital Equipment Corporation (DEC).

En 1983, Didier Morandi a été embauché par le constructeur, chez qui il a passé à Evry (91) un an au Centre d’assistance Clients par téléphone, puis deux ans comme responsable de la sécurité des systèmes d’information.

En juin 1986, il quitte DEC et crée la société DTL Conseil à Sophia Antipolis (06), puis s’installe à son compte en libéral comme consultant en sécurité générale et informatique jusqu’au 30 novembre 2015, date à laquelle il fit valoir ses droits à la retraite.

Didier Morandi a été marié et a eu deux garçons, Édouard (1991) et Antoine (1996).

Questions / Réponses

Q. Quand on fait une recherche sur votre nom, avec Google par exemple, on trouve votre profil LinkedIn, qui ne nous apprend pas grand-chose de plus par rapport à ce qui est publié ci-dessus, mais on trouve un article de Midi Libre vous présentant comme un descendant des Frères Lumière.

R. Oui, ma mère est une petite fille d’Auguste Lumière. De plus, mon père adoptif Maurice Trarieux-Lumière est un petit fils de Louis, ce qui fait que, par adoption, je suis un arrière petit-fils d’Auguste et de Louis, ce qui explique pourquoi j’ai porté pendant longtemps le nom Morandi de Trarieux-Lumière. J’ai simplifié mon nom en Morandi en 2024 pour honorer mon père, toute la génération précédente ayant disparu.

Q. Qu’est-ce que c’est que cet ouvrage « The Division – Manuel de l’utilisateur » dont vous êtes présenté sur le site de Amazon comme l’auteur ?

R. J’avoue être fan de jeux vidéo depuis 1980, j’ai passé les premières années de ma retraite à publier des guides pour les jeux que j’ai particulièrement appréciés, ceux-ci étant surtout des productions de la société française Ubisoft. D’ailleurs, après la publication (gratuite) de ma documentation de 221 pages sur le jeu Rainbow Six Siege qui a été téléchargée plus de 48 000 fois, Ubisoft m’a invité en tant que « Star Player » au salon E3 de Los Angeles en 2016 !

Q. On vous trouve aussi sur le site de AlloCiné comme « producteur de films ».

R. Oui. Atavisme Lumière oblige, j’ai sponsorisé le film de François Gérard Voyage sans retour, qui raconte la triste histoire du terroriste islamiste Khaled Kelkal. J’avais à l’époque transformé ma boutique de dépannage informatique de Toulouse en armurerie de loisirs suite à mon choix de commercialiser les répliques Airsoft de Cybergun, et j’ai fourni à la production du film les tenues et l’armement du détachement de l’EPIGN qui a traqué et éliminé le triste sire. J’ai aussi écrit le scénario d’une biographie du général Marcel Bigeard, le militaire le plus décoré de France à l’époque, mais comme je n’ai trouvé aucun réalisateur intéressé par le projet parmi ceux que j’ai pu contacter (Stéphane Rybojad, Patrice Leconte, Guillaume Canet, Jean-Jacques Annaud, Clint Eastwood et Roland Joffé), le film n’a jamais vu le jour. C’est bien dommage, Bigeard a été un homme remarquable, un exemple pour nos jeunes désabusés d’aujourd’hui, à mon avis.

Q. En fait d’armurerie de loisirs, en continuant à chercher dans les entrailles de la Toile, on peut trouver un article de La Dépêche racontant que vous avez eu des démélés avec la Justice à Toulouse à cause de votre magasin.

R. Oui, suite à un dégât des eaux catastrophique, j’ai dû déménager en toute hâte mon magasin de 200 m2 Au Bonheur du Glock de la rue Joseph Billecoq vers un local rue Matabiau qui se situait juste (c’est son prénom) en face d’une école maternelle. J’avais mis en vitrine un mannequin féminin d’1m70 en treillis/Rangers, un Famas en travers de la poitrine, et placé à côté un distributeur de bonbons Haribo. J’avais aussi collé sur ma vitrine une affiche : « Maman, Maman, Haribo : 2 euros ». La directrice de l’école a porté plainte pour incitation à la violence !… J’ai été convoqué, auditionné, contrôlé, relaxé et puis j’ai changé la décoration de ma vitrine pour apaiser les esprits.

Q. Qu’est-ce que c’est que SOS Mac – PC ?

R. SOS Mac – PC est une activité de dépannage informatique que j’ai relancée quand je suis arrivé en Petite Montagne pour m’occuper différemment, et surtout pour rendre service. Je fais aussi des formations gratuites pour petits et grands à la Médiathèque de Saint-Julien sur Suran, habitant tout à côté à Lains avant de décider de déménager à Dole suite à ma nomination comme responsable de la 3e circonscription du Jura pour le Rassemblement National.

Q. Vous êtes parent avec le peintre Giorgio Morandi ?

R. Non.

Q. Et avec Riccardo Morandi, l’architecte qui a construit le pont qui s’est écroulé en Italie en 2018 ?

R. Non plus.

Q. Parlez-nous de la Chouette d’Or.

R. Sur la trace de la Chouette d’Or est une chasse au trésor exceptionnelle qui a été créée en 1993 et qui n’est toujours pas terminée, contrairement à ce qu’affirme le nouveau gérant de la chasse, Michel Becker, suite au décès de son co-créateur, Max Valentin (de son vrai nom Régis Hauser) en 2009. J’y ai participé, je ne l’ai pas trouvée mais la chasse est toujours ouverte.

Q. Vous avez été étudiant en égyptologie à l’Université Paul Valéry UPVM3 de Montpellier en 2022, à 71 ans ?

R. Oui, je suis égyptologue amateur passionné depuis longtemps (ma grand-mère Yvette Lumière est née à Alexandrie) et ai souhaité célébrer à ma façon le centenaire de l’extraordinaire découverte de la tombe de Toutankhamon par Howard Carter en 1922 et le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion en 1822. Comme je résidais à Montpellier à l’époque, je me suis inscrit en tant qu’auditeur libre en Master Civilisations pour suivre les cours de Bernard Mathieu, le génial co-auteur avec Pierre Grandet de leur célèbre Cours d’égyptien hiéroglyphique, la référence mondiale dans le domaine.

Q. Vous aimez l’humour. Si l’on regarde soigneusement l’image en bannière de votre site, on peut remarquer que la plaque « Place de l’Europe » où se trouve la Mairie de Dole a été modifiée en « Place de la France ». Auriez-vous l’intention de changer le nom de la place de l’Europe si vous êtes élu Maire de Dole ?

R. Oui, c’est bien évidemment de l’humour et non, je n’en ai pas l’intention et de plus je ne suis pas – sauf erreur – candidat à la Mairie de Dole, mais c’est surtout un signal fort destiné aux Français en général et aux Dolois en particulier. On connait la réaction du général de Gaulle quand un journaliste lui a parlé pour la première fois de l’Europe [1]. La France fait en réalité partie de l’Europe depuis bien avant la triste initiative du sinistre Jean Monnet, partisan d’une Europe fédérale supra-nationale. Une hérésie, une trahison.

En conclusion, et tout simplement : La France d’abord, c’est la racine de nos idées.

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1. À la fin de 1965, en pleine élection présidentielle (la première au suffrage universel direct sous la Ve République), on interrogea De Gaulle sur la construction européenne et sur ceux qui, notamment dans la classe politique et la presse, réclament « plus d’Europe », « une Europe intégrée », voire une Europe fédérale. Le général répondit : « Il y a d’ailleurs toute une mythologie qu’on entretient sur ce sujet. L’Europe, l’Europe, l’Europe ! Mais enfin, qu’est-ce que c’est que cela ? L’Europe, ce n’est pas une entité qui existe toute seule, c’est un ensemble de nations, chacune avec sa propre histoire, ses traditions, son gouvernement, ses intérêts… » Et, selon plusieurs témoins présents ce jour-là, il sautillait sur place en répétant “L’Europe ! L’Europe ! L’Europe !”, “comme un cabri”, pour se moquer de l’enthousiasme abstrait et désincarné de certains européistes de son temps (ChatGPT).